Grégoire MALOBA KAYAMBA, Professeur à l’Université Catholique du Congo
Résumé
Dans tous les rites religieux du monde, il existe des symboles de purification et de pardon. Le missel romain pour les diocèses du Zaïre (MRDZ) ne déroge pas à la règle. En symbolisant la profondeur du mal par «la sangsue qui colle à la peau», le rite pénitentiel du MRDZ sonne comme un appel au secours divin qui libère du mal et rétablit la vie : l’articulation du pardon et du salut est nettement confirmée.